J’ai perdu mon corps : Test Blu-ray

Réalisateur : Jérémy Clapin / Casting : Hakim Faris, Victoire Du Bois, Patrick D’Assumçao / Genre : Fantastique / Compositeur : Dan Levy / Date de sortie : 6 novembre 2019 / Durée : 81 minutes / Pays : France

Synopsis : A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire…

Critique du film

Date de sortie vidéo : 6 mars 2020 chez Sony Pictures Home Entertainment France

Informations Techniques : 1080p AVC – Couleurs & Noir et Blanc – 2.35 – 16 :9 – DTS HD Master Audio Français 5.1

Test Blu-ray :

Image : La qualité du blu-ray rend totalement justice au film, permettant d’apprécier comme il se doit ses fabuleux graphismes, ses décors et surtout son point de vue atypique quand on est centré sur la main. On regrettera simplement un léger manque de contraste sur certaines séquences, notamment les flash-backs dont on aurait voulu encore plus apprécier les détails rotoscopiques du film.

Son : Rien à redire à ce niveau-là, le DTS HD en 5.1 tient parfaitement la route et surtout permet d’apprécier comme il se doit la superbe musique de Dan Levy, justement récompensée par un César pour son fabuleux travail, véritable cœur émotionnel du film.

Bonus Blu-ray :

– Making-of : Dommage qu’on ne trouve que ce module dans les bonus proposés tant on aurait voulu tout savoir du film de A à Z. Heureusement ce making-of de 31 minutes s’avère bien fourni et permet d’explorer l’ensemble de la fabrication du film en évitant les discours promotionnels parasitant généralement ce genre de module. Ici, au contraire, place à la technique et l’on voit comment le film a pu prendre corps avec ce rendu si particulier. Exhaustif, le making-of lève le voile sur les principaux aspects du film et souligne l’importance de la vision générale que Jérémy Clapin et Marc Du Pontavice avaient sur le film dès le début.

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