Patatras, un vendredi chargé d’impératifs et de dossiers à conclure, puis des critiques à finaliser, à corriger pour bien préparer cette semaine qui s’annonce radieuse. Mais j’en ai oublié l’édito !
Nous sommes samedi fin de journée avec Alexandre. On ne s’est pas quittés de la semaine pour vivre les derniers instants de la cinémathèque avant fermeture estivale. Ce samedi est diffusé Abyss de James Cameron en copie 70mm et un son magnétique incroyable, je ne vous dis pas le pied que l’on a pris. Bref, il se retourne et me demande pour l’édito. Me voilà dans l’embarras car pas de créneau outre ce dimanche matin au petit-déjeuner à vous raconter notre vie. Le dimanche va se finir sur la projection de Patton de Franklin J. Schaffner en copie 70mm aussi, une grosse attente pour moi adorant le film, pas revu depuis quelques années et son achat en DVD. Les conditions idéales vont être réunies en cette fin de week-end pour redécouvrir ce grand classique du film de guerre.
Pour tout vous dire, pas de folies cette semaine sur Close-up Mag, alors que les juilletistes viennent de rentrer et les aoûtiens envahissement grassement les plages en faisant du bruit et balançant du sable sur tout le monde. On souhaite bonne chance à tout ce petit monde pour bien se reposer entre le peuple sur la plage, les places de parkings chères à trouver et à payer… nous personnellement on reste encore un peu au bureau avec la climatisation et on enchaine les projections et les interviews.
Dernièrement beaucoup de rencontres et de compte-rendu car l’actualité est forte même en période d’été. Fini le temps de découvrir les blockbusters en mai/juin pour laisser filer le critique en vacances. Non, les projections événements tombent en plein mois de juillet dans des conditions idéales comme par exemple Le Roi Lion ou Hobbs & Shaw au Pathé Beaugrenelle. On remercie Disney et Universal pour ces petits moments d’évasions privilégiés.
Ça ne s’arrête pas pour nous, on regarde même avec une vile jalousie toutes les photos de piscine et de plage de chacun, en déplaise à tous de cuire comme un saumon au soleil. Il fait tout de même 42 degrés. On laisse juste passer un peu de temps et de gens pour se faufiler dans les stations balnéaires fin août/début septembre pour réellement souffler. On ne va pas faire 500km pour retrouver Paris à la plage tout de même. Privilège de ne pas avoir d’enfants et une certaine liberté. Mais on reparlera de tout cela dans une dizaine d’années sur la plage un mois d’août.
Profitez bien de votre nouvelle semaine de vacances – vous en avez le droit qu’à cinq, – mais aussi sur Close-Up Mag qui vous accompagne au quotidien pendant tout l’été avec votre dose de lectures cinéma préférées. On vous a embêté, mais on vous adore, c’était l’édito sarcastique de l’année, on vous embrasse et on vous dit à la semaine prochaine.
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