Édito – Semaine 5

À quelques jours de partir sur les terres vosgiennes pour la 26e édition du festival de Gérardmer, nous bouclons les derniers dossiers en cours. Ne pas laisser traîner du travail avant d’être coupé du monde en pleine épouvante hivernale.
Dure est la vie d’un critique de cinéma s’éparpillant dans les papiers à rendre ou d’entamer les brouillons pour partir la tête tranquille. Nous aimons nous plaindre de par cette vie semblant facile alors que les nuits s’annoncent courtes pendant cinq jours.

Bref, un voyage à ne rater sous aucun prétexte, Gérardmer étant devenu une tradition depuis notre première en 2013. Une ambiance particulière, un contexte et un lieu propice à découvrir du fantastique et de l’horreur. Espérons juste que le temps sera propice à voyager entre les salles sans sentir le mouillé comme certaines années au climat difficile.

Cette année nous allons pouvoir faire quelques rattrapages comme Freaks, raté lors de la dernière édition du PIFFF (merci les Gilets Jaunes) ou encore le dernier Puppet Master. Avouons surtout que la sélection est propice à la découverte cette année. Rien ne nous aguiche particulièrement, seul le plaisir de la découverte d’une sélection de films intéressants sur le papier. L’ouverture du Festival se fera avec Escape Game, qui a réussi à tripler son budget lors de son exploitation aux US. Le film est prévu chez Sony pour février, une belle avant-première pour la critique en direct du Festival.

On se prépare au départ tranquillement au bureau. Nous avons fait l’approvisionnement des bonbons, des chips pour le train, ainsi que des sandwichs. Nous avons rationnés les tickets restaurant depuis Noël pour s’offrir de bons restaurants (Alex rêve des burgers vosgiens à en réveiller sa femme), et puis on croise les doigts de ne rien oublier. Les magnétophones, les batteries externes pour les téléphones, le GPS satellite et les kits de survie… Euh pardon, non quatre slips, 6 paires de chaussettes, jeans propres (merci maman) et des pulls Damart (merci mamie). Nous sommes bons, on ne vous dit pas à la semaine prochaine, mais à dans 15 jours pour un nouvel édito toujours aussi pertinent (idiot ?). 

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