Édito : Semaine 5.

Commençons par la fin pour une fois. Explication  : hier dimanche 28 janvier, nous avons pris le choix de publier la critique de ce cher film qui est Overdrive. Un film où la vie est belle ou presque pour des voleurs de voitures casse-cou, deux frangins avec en première ligne, Scott Eastwood. Le film nous a laissé un mauvais arrière-goût, ce genre de film dont on se passerait bien. Mais on a voulu être sympa et le chroniquer suite à la réception du DVD. La séance fut déjà pénible lors de la sortie du film en salles, elle le fut tout autant dans notre canapé. Bref nous souhaitions souligner la parution de notre critique d’Overdrive ce dimanche pour vous prévenir que le film est mauvais, vraiment pas bon du tout.

Sinon, en cette nouvelle semaine, espérons-le sans pluie, du lourd, du très très lourd. Débutons par notre focus sur le long-métrage franco-kirghiz, Centaure réalisé par Aktan Arym Kubat, que nous avons rencontré lors de son passage à Paris pour discuter du film.

Mardi, nous rattrapons le film des frères Safdie, Good Time avec Robert Pattinson qui court au cœur de New York suite à un braquage raté. Nous enchaînons avec Le Prix du Succès réalisé par Teddy Lussy-Modeste avec Tahar Rahim et Roschdy Zem. Ensuite mercredi place à Stronger avec Jake Gyllenhaal et England is Mine, film qui ne nous a pas plu du tout, portrait de Steven Patrick Morrissey et le début de sa vie à Manchester dans les années 70 avant qu’il ne devienne le chanteur emblématique du groupe The Smiths. Un biopic frustrant qui réussit le pari de caser une seule séquence de chant au cœur d’un long-métrage consacré à un chanteur ! Le film se montre dans le même temps peu subtil dans son approche, puis ne parlons pas de la mise en scène, sacrément maladroite. Bref, vous l’aurez compris, England is Mine est à éviter, mais ne vous empêchez pas pour autant de lire notre critique du film  !

Au moment de la publication de la critique de England is Mine, la rédaction de Close-Up Magazine posera ses valises au cœur de la station de ski, Gerardmer, pour le festival du film fantastique qui s’y déroule du 31 janvier au 4 février 2018. Cinq jours endiablés où l’on va profiter de voir ce que le cinéma de genre nous réserve pour les 6 prochains mois, voire pour l’année entière. Certaines redites entre la programmation du PIFFF et Gerardmer que nous éviterons (ou pas) comme Revenge ou Tragedy Girls, mais nous essaierons de rattraper Downrange, raté en décembre au Max Linder. Une programmation dense, dont une nuit Hellraiser, ou les projections de Ghostland de Pascal Laugier, Cold Skin de Xavier Gens ou encore du Labyrinthe 3 pour sa sortie salles en février. À l’occasion de la sortie de ce dernier, nous reviendrons sur les deux opus précédents pour être totalement complets sur cette trilogie assez réjouissante, en dépit d’un souvenir mitigé sur le premier film lors de sa projection presse. L’occasion d’être complet, d’avoir une vue d’ensemble sur l’adaptation d’une saga littéraire pour adolescents, ce qui s’est fait de mieux au cinéma pour eux ces dernières années, avec Hunger Games.

Entre toutes les projections, dont un hommage et un cycle à Alex De La Iglesia sur place, et les différentes rencontres professionnelles, on vous promet de tout partager avec vous via nos réseaux sociaux où vous pourrez enfin découvrir nos têtes avec commentaires. Close-Up au Lac, Close-Up au restaurant, Close-Up à l’hôtel, Close-Up au ski (le planté de bâton Alexandre, le planté de bâton!!). Tout un programme pas très jeunesse, mais que l’on espère enthousiaste et passionné, car Gerardmer est un rendez-vous incontournable du périple cinématographique annuel.

J’allais vous dire à la semaine prochaine, mais je ne vous assure de rien avec le voyage sur les terres enneigées de l’horreur à la Française. Bonne semaine à vous et on se voit dans les Vosges !

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