Édito – Semaine 51

Comme pressenti la semaine dernière, la grève qui agite Paris depuis maintenant une dizaine de jours ne nous aura pas permis d’accéder au Max Linder et de participer au Paris International Fantastic Film Festival. Pour beaucoup de la rédaction, nous sommes en télétravail, essayant vainement d’approcher Paris pour des interviews ou quelques projections presse de films importants pour la fin de l’année.
C’est évidemment peine perdue, le peu de fois où l’on a tenté le parcours, on a rebroussé chemin à la vue de la cohue et du comportement animal d’usagers totalement hystériques. 

En dépit d’une grève qui s’annonce tenace, on se terre à la maison se rabattant sur le boulot laissé de côté depuis des mois, en cause une actualité hebdomadaire forte et l’étroitesse de notre équipe pour tout traiter à temps. Le ménage s’opère donc sur les étagères faisant bien plaisir à Madame ne pouvant plus supporter tout ce foutoir dans le salon. On en profite au passage pour remercier les éditeurs de leur patience, voire d’être carrément coulant sur le retard exagéré sur certaines sorties périmées, et donc en rattrapage forcé déjà publié cette semaine ou en prévision pour les semaines à venir. 
Finalement, ces grèves ont bien impacté nos plannings. Tout ce que nous avions prévu tombe à l’eau, certaines interviews sont annulées et notre couverture du PIFFF contrariée.
Pas de PIFFF donc, pas d’actualités chaudes, Alexandre ayant réussi au moins à faire quelques séances en après-midi avant un marathon d’une heure à pied pour rentrer chez lui. Le seul bien loti est Sébastien dans l’affaire qui s’est dégoté un bon plan et une nénette au passage pour se loger tranquillement et découvrir la sélection et autres avant-premières. Il aura finalement trouvé à force d’appels et d’épluchage de son carnet d’adresses !
Grâce à lui, on sauve à minima le cas PIFFF avec un dossier focus complet sur cette turbulente édition 2019. Pour le reste de l’équipe, on lorgne l’édition 2020 et espère quelques potentiels rattrapages à Gérardmer, si la SNCF nous laisse partir fin janvier bien évidemment.

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