Édito – Semaine 44

Quand vous lirez ses lignes, nous aurons débuté ce cycle qui nous tient particulièrement à cœur. À savoir revenir sur toute la saga James Bond, qui est en soi loin d’être une mince affaire.
Comment aborder ce processus de rétrospective sur une série aussi âgée que nos parents  ? 

Nous avons réfléchi sur une forme ludique, qui a sans doute été déjà faite ailleurs et moult fois, mais au mieux dès le départ, une forme qu’il nous amuse de travailler chaque semaine.
La publication s’étalera chaque dimanche nous amenant en cela jusqu’à la sortie du prochain film de l’agent 007, le dernier avec Daniel Craig, Mourir peut Attendre réalisé par Cary Fukunaga, en salles le 8 avril 2020. Un long cycle dont nous nous sommes départagés dans l’équipe par période d’acteurs (Sean Connery/Georges Lazenby/Roger Moore/Timothy Dalton/Pierce Brosnan/Daniel Craig) ayant incarné le célèbre espion. Donc forcément, tout commence avec Dr No ce dimanche passé. Chaque film passera sous le crible de James Bond, sa position au cœur du film, son évolution et son style. James Bond en pivot pour mieux s’intéresser à son acteur du moment et de contextualiser la carrière de celui-ci à cette période précise. Chaque film répondant à son époque et à sa société.
Puis la Mission, le pitch, le décor et la production du film en question. Ensuite l’antagoniste, souvent miroir de James Bond, son rôle dans le film, son ambition et son évolution. Sous quel prisme est-il abordé, le méchant des films ayant une importance cruciale dans la pérennité de la saga. N’oublions pas de faire coucou à la James Bond Girl, aussi cruciale que l’antagoniste. Le soutien érotique et/ou actif auprès de James Bond, son importance au fil de la saga et la répercussion du rôle sur sa carrière. Un James Bond n’est rien sans sa coéquipière.
Nous finirons sur l’exotisme des gadgets concoctés par Q. Accessoires important dans le bon déroulé d’une mission, mais aussi un petit mot sur Q qui nous gratifie d’apparition et/ou participations savoureuses à chaque film depuis Goldfinger. Le personnage est absent des premiers films, mais 007 se verra remettre quelques accessoires ou améliorations de son matériel, son premier gadget étant son mythique Walter PPK remplaçant son Beretta dans le premier film de 1962. Armer 007 de gadgets est, à l’image de la girl, indispensable.

Vous connaissez donc le programme de chaque dimanche au fil des mois sur Close-Up Mag. Une rétrospective 007 qui va vous permettre, ou non de revivre les grandes aventures d’un héros moderne mythique et de retrouver la saveur des grandes heures du cinéma contemporain.

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